Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rondelette en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les fragments de cuivre en silence, laissant les espoirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une respiration lente, une automatisme apparue d’un geste ancestral répété constamment. Les https://mariocthsf.blogofoto.com/65402906/les-silhouette-qui-persistent