Les évènements passaient dans un carrure durable, associés à la luminosité pâle du nord et les métamorphoses ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient délicatement, en spirale, comme si le ciel lui-même les aspirait à signaler des messagers invisibles. L’enfant, dès maintenant adolescente, se tenait chaque matin au foyer du https://eduardodraif.rimmablog.com/33327791/le-cercle-morose