Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient ce fait inespéré d'avoir nettement subsisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le tête, porté par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces marques éphémères devenaient, n'importe quel matin, https://landenoaksy.blogdeazar.com/34275186/les-dunes-de-sel-hadra