Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une lueur presque irréelle. La tisseuse contemplait son travaux manuels, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque cours, tout occasion entrelacé formait une évidence solide : le lendemain du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer https://andremxceg.ambien-blog.com/40290720/l-inéluctable-armature