La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son boulot dans l’ombre tamisée de son usine. Son poste à tisser, fidèle animal de ses visions silencieuses, laissait évoluer des fils d’or et de soie entre ses toi. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque vivant, à savoir si tout https://hectorgmnml.jaiblogs.com/60816965/les-fils-du-sort