Le silence pesait sur l’abbaye de façon identique à un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait revêtir des murmures indistincts, comme si la gemme elle-même conservait la évocation des âmes disparues. Le moine restait prostré amenées à le manuscrit, sa souffle saccadée, les mains crispées https://troycozho.ageeksblog.com/32731403/l-encre-du-sort