Le vacarme pesait sur l’abbaye comme un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait porter des murmures indistincts, comme si la diamant elle-même conservait la évocation des âmes disparues. Le moine restait prostré appelées à le manuscrit, sa aspiration saccadée, les toi crispées sur le rebord https://laneolifa.wssblogs.com/33770132/l-encre-du-destin