Le théâtre s’élevait au cœur de la ville, imposant nonobstant ses murs fissurés et son enseigne décolorée. Abandonné depuis plus d’un siècle, il avait des temps anciens écouté les plus vieux musiciens de son période. Mais aujourd’hui, seuls le vent et la poussière animaient encore ses chemins désertes. Arthur poussa https://travissydhj.pointblog.net/la-ramage-des-absents-77378470