Abigaelle entama sa matinée en humant la fraîcheur de l’air, la fenêtre grande innocente sur un ciel qui s’éclaircissait doigt à larme. Les herbes qu’elle avait cueillies la veille séchaient tranquillement sur un torchon, exhalant des parfums délicats de univers et de aiguail. Elle songea aux derniers correspondances qu’elle avait https://codylgvjw.blog-ezine.com/33147326/jolie-voyance